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Contexte historique
Écrit en 504 après Ael Set
(William Ael : Inventeur de la première machine aérienne guerrière à vapeur)
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Peuplements originaires
Il y a 10 000 ans environ)
Écrit en 504 après Ael Set
(William Ael : Inventeur de la première machine aérienne guerrière à vapeur)
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Peuplements originaires
Il y a 10 000 ans environ)
Certains historiens remontent les premiers peuplements humains à un milliard d'années, d'autres n'osent pas se prononcer mais les placeraient bien plus loin dans l'échelle du temps. La vérité, c'est qu'à ce jour, on n'est pas capable de mesurer convenablement les datations. Seules quelques recherches archéologiques et les objets retrouvés sur les sites permettent de placer l'apparition de l'homme sur le continent. Mais la difficulté demeure de différencier les ossements humains de ceux des grands singes aux allures très humaines dont on a aujourd'hui plus aucun signe de vie.
Les rives de la Jougle
Les plus anciens peuplements ont été retrouvés dans le désert de sel de Sûl-Nacre et datent d'une période antérieure à la dernière glaciation. C'est sur les rives de la Jougle que sont répertoriés les plus vieux campements datant de notre ère.
Les tribus côtières
Les côtes sud et sud-ouest du continent ont accueillis de nombreuses tribus de pêcheurs.
Les peuplades lacustres
La Sensigane et ses eaux froides attirent les chasseurs qui suivent les migrations des grands troupeaux du Delta du Mult jusqu'aux grands lacs montagnards.
Les hordes de Sûl
Aux marges du désert de Sûl-Nacre circulent les hordes de Sûl, tribus nomades des oasis en continuel mouvement, vivant de chasses, de cueillettes.
Développement des clans et révolution néolithique
(- 3000 ans avant Ael Set)
C'est sur la plaine de Cerdauce et la côte sud qu'apparaissent les premières communautés sédentarisées. L'immense plaine fertile favorise les campements agraires ainsi que l'élevage, alors que sur la côte s'installent les premiers villages de pêcheurs.
Pendant de longs millénaires, l'homme conserve cet état primitif dans son évolution. Il lutte à coup de sagaie et d'arme blanche contre les énormes « paluds » ( sortes de chiens armés d'une carapace et d'une gueule de requin, aujourd'hui disparus). Il cultive ou chasse pour se nourrir.
Consolidation des clans de Cerdauce
On constate une structuration de village autour de lignages descendant d'un personnage fondateur. Ces villages forment des clans liés à un territoire et le pouvoir est hérité du chef. Chaque clan délimite son territoire.
Les guerres des clans
La sédentarisation et la recherche de nouveaux terrains pour le clan qui grossit pousse les clans à s'opposer et à se mener une guerre lasse et sans relâche. Le plus fort gagne.
Damage clanique
Peu à peu, les chefs les plus conséquents marquent le paysage et limitent leur territoire. Par respect ou peur, les frontières sont relativement préservées. On assiste à un damage territorial de la plaine.
Généralisation de la métallurgie
(- 1000 avant Ael Set)
(- 1000 avant Ael Set)
L'homme prospère pourtant plus vite que toute autre race. La découverte de la métallurgie marque une révolution dans le développement humain. Les peuples claniques développent une technologie primitive purement mécanique qui améliore considérablement les productions et la qualité de vie. Les armes blanches se multiplient.
Naissance des premières forges de Gav'Orn
Le plus grand site métallurgique connu est celui de Gav'Orn.
Le développement technologique nécessite des matériaux rares qu'on ne trouve que dans le sud-est du Continent et au pied de la Grande Noirceur. Lorsqu'un grand gisement de fer est découvert par Gav, le Clan parvient à s'adapter et à se donner les moyens d'acquérir un savoir-faire en matière de métallurgie et de forge. Le Clan de Gav'Orn extrait le fer et se plaît à le travailler. Les armes, les socs ou autres outils nécessitant l'usage du fer sont bien souvent fabriqués à Gav'Orn.
Transport fluvial en pleine croissance
À cette époque, l'homme descend les fleuves sur de grandes barges et le remonte sur des navigations étroites équipées de plusieurs rameurs. Le fleuve est très souvent utilisé pour aller de la mer jusqu'à la confluence de Thil. Le transport fluvial est favorisé pour tout transport de matière première ou de stocks de produits finis.
Les bûcherons des forêts nordiques
Au pied des Impalpables se sont installées des colonies de bûcherons chargées de fournir les clans en bois de qualité pour les bateaux et les habitations.
Naissance des premières forges de Gav'Orn
Le plus grand site métallurgique connu est celui de Gav'Orn.
Le développement technologique nécessite des matériaux rares qu'on ne trouve que dans le sud-est du Continent et au pied de la Grande Noirceur. Lorsqu'un grand gisement de fer est découvert par Gav, le Clan parvient à s'adapter et à se donner les moyens d'acquérir un savoir-faire en matière de métallurgie et de forge. Le Clan de Gav'Orn extrait le fer et se plaît à le travailler. Les armes, les socs ou autres outils nécessitant l'usage du fer sont bien souvent fabriqués à Gav'Orn.
Transport fluvial en pleine croissance
À cette époque, l'homme descend les fleuves sur de grandes barges et le remonte sur des navigations étroites équipées de plusieurs rameurs. Le fleuve est très souvent utilisé pour aller de la mer jusqu'à la confluence de Thil. Le transport fluvial est favorisé pour tout transport de matière première ou de stocks de produits finis.
Les bûcherons des forêts nordiques
Au pied des Impalpables se sont installées des colonies de bûcherons chargées de fournir les clans en bois de qualité pour les bateaux et les habitations.
Le grand bouleversement
(Ael Set)
Les dévastations des chimérons
Les chimérons ne sont pas plus oiseaux que grillons. Dès les premières installations humaines sur la plaine de Cerdauce, il n'était pas rare de rencontrer un chiméron. Mais lorsque les clans gagnent en surface et que la pression humaine devient plus forte, ils commencent à apparaître en bande. Ils étaient suffisamment gros, nombreux et agressifs pour mettre à mal les paysans au travail ou les bateliers en voyage. Bientôt, les chimérons arrivèrent par nuées, volant au raz des terres. Les récoltes sont dévastées et les hommes doivent fuir pour ne pas périr.
Naissance de Thil et l'union des clans
Afin de mieux lutter contre les chimérons, les hommes se rassemblent en grands groupes. Ils peuvent ainsi se protéger mutuellement. Les clans s'assemblent et cherchent un moyen de lutter à arme égale contre ces invasions qui déciment les installations isolées.
Les chimérons apportent avec eux une maladie qui se répand à grande vitesse. La moindre morsure répand l'épidémie et décime tout le clan.
Les hommes se déplacent en convoi pour aller travailler mais vivent en ville pour garantir leur sécurité.
Deux grands noyaux urbains se solidifient à cette époque, vidant les campagnes des plus téméraires : La cité de Thil et à moindre échelle celle de Gav'Orn. Les disettes font rages car les champs sont désertés. Le mal se répand sur tout le continent.
La mort est partout présente. Si un miracle ne survient pas, l'Humanité sur Ter Aelis ne survivra pas.
William Ael découvre la machine à vapeur aérienne
William Ael a élu domicile à Thil. C'est un fils du clan Ael. Il est réputé pour ses inventions. Il met au point un engin propulsé par la vapeur capable de voler au-dessus des hordes de chimérons afin de les pulvériser d'huile bouillante. Sous son égide, sont construits des régiments entiers de machines aériennes capables de combattre le fléau.
Éradication des chimérons
En utilisant ses régiments d'ailes volantes, William Ael conduit les Thiliens dans le ciel et parvient à éradiquer les hordes de chimérons sans être contaminé. C'est le début d'une guerre de dix ans dont l'homme sortira vainqueur.
À la fin de cette lutte acharnée, afin de célébrer ce sauvetage de l'humanité, il est décidé d'adopter un calendrier universel dont l'origine coïnciderait avec le lancement de l'Ael Set (nom donné au premier régiment d'ailes à vapeur).
La révolution industrielle
(Ael Set à 200ans après Ael Set)
La vapeur révolutionne la mécanique et permet de donner une autre ampleur à celle-ci. L'homme commence à se transporter grâce à la vapeur et à charrier matériaux et produits finis sur de grandes plates ainsi propulsées. Un commerce de plus en plus florissant s'installe. De grandes foires sont organisées à Thil.
C'est à cette époque que les clans rassemblés à Thil décident d'adopter une langue et une monnaie commune.
La course aux matières premières
La vapeur implique une très grande consommation de bois et de métaux. Le site de Gav'Orn commence à s'épuiser.
Développement fulgurant Des Cories
De nombreux migrants, sous la tutelle des plus puissants chefs claniques, choisissent de s'expatrier au pied de La Grande Noirceur afin d'extraire le fer de nouveaux filons repérés. Les clans se lancent dans une concurrence folle. Dans la foulée, ils extraient de la houille. Bientôt un grand réseau minier marque le paysage montagnard, tandis que la cité s'enfonce dans les profondeurs dans de la montagne. En parallèle, une ruée vers les métaux plus précieux entraîne une migration de chercheurs individuels.
Création de la « 3A »
William Ael fut le fondateur d'une lignée de chercheurs qui élabora de nombreuses machines propulsées à l'aide de la vapeur et du vent. L'escadre d'ailes volantes « Ael Set » fut la première d'un régiment considérable et le fondement de « l'Armée de l'Air d'Ael », communément nommée la « 3A ». Sa mission est de sécuriser le ciel. Une nombreuse flotte de navires flottants voit le jour. La « 3A » protège la flotte marchande et les hauts fourneaux des Cories en échange de matières premières.
Sédentarisation des Hordes de Sûl sur l'oasis de Sûl-Nacre
Alors que les cités prennent forme et que les transports terrestres se développent, les hordes de Sûl se sédentarisent en s'installant sur les oasis. Les hommes du désert se regroupent sur l'oasis de Sûl-Nacre et y fabriquent du verre de belle facture.
Expansion Urbaine et migrations
Le développement industriel s'accompagne progressivement d'un exode rural massif. Les cités prennent de telles ampleurs qu'elles s'étalent sur des dizaines de kilomètres voir plus. Leur pouvoir devient primordial.
Exode rural
Le mouvement des populations, engagé lors des dévastations de chimérons, se poursuivit jusqu'à vider les campagnes. Seules subsistent quelques irréductibles villages qui deviennent les garages de machines outils ou des centres de réparation.
Croissance exponentielle de Gav'Orn
La cité de Gav'Orn, connue pour ses forges, attire les paysans désireux de profiter des avantages de la cité et du développement industriel. Les mines, les forges, les bateliers, docks, centres de pêches ou de marine marchande se répandent et embauchent les migrants. Ceux qui ne trouvent pas emploi errent dans la cité quand ils ne rejoignent pas un équipage de pirates ou de voleurs.
Naissance de la grande Belle Thil
Thil prend tant d'ampleur qu'elle s'étend sur des dizaines de kilomètres du Nord au Sud le long de la Jougle et du Tumult. Les plus grands clans sont devenus des dynasties qui se sont investies dans la recherche scientifique, la production agricole ou la production mécanique. La cité devient « La Grande Belle Thil ».
Le refuge de Talante
En 300 après Ael Set, quelques illuminés et passionnés cherchent refuge sous la mer en espérant une vie meilleure. La construction de la cité est l'objet d'un vaste projet de coopération de métiers et de sensibilités. Quand la cité est opérationnelle, qu'elle est capable de recycler l'eau en air, elle est alors non seulement parfaitement agencée mais aussi esthétiquement remarquable.
Ils sont quelques milliers à émigrer.
L'installation aérienne de Willaer
« L'Armée de l'Air d'Ael » construit un pont aérien capable de garer toutes les flottes composées de dirigeables et d'ailes légères ou lourdes, qu'elles soient civiles ou militaires. Toujours en mouvement, ce pont se déplace au-dessus du continent. Au fil du temps, d'autres ponts viennent s'accrocher autour d'un cœur qui lui même a la faculté de s'agrandir. C'est dans ce cœur que demeure le quartier général de la 3A et que sont découvertes les innovations aériennes. La section civile aérienne étend peu à peu ses services.
Migration des verriers vers Sûl-Nacre
En comparaison de La Grande Belle Thil, de Gav'Orn ou même Des Cories, Sûl-Nacre ne fait pas tout de suite figure de ville capitale. La cité gouverne les caravanes orientales et est maîtresse dans le désert. Sa réputation de productrice du meilleur cristal du continent incite les verriers de La Grande Belle Thil à s'installer directement sur le site de production.
Leur présence transforme la ville en cité de verre dont la renommée dépasse les frontières.
Consolidation des cités-États
Les cités ont été le point d'appui de larges mouvements de population et elles ont évolué, au fil du temps en cité-État. La cité est devenue le pôle d'un territoire qu'elle contrôle. Ce territoire, équivalant à un pays, vit sous la tutelle de la cité qui lui impose son régime politique tout en lui garantissant sa sécurité et son développement. Au fil du temps, les cités-État se sont appropriées un territoire bien défini que le poids des gouvernements en place maintient dans des frontières devenues fixes.
Sectarisation du continent mais frontières indécises
Chaque cité-État contrôle des secteurs économiques bien précis. Ce contrôle leur permet de se partager l'espace territorial. Mais les frontières sont indécises et les États s'entremêlent et pénètrent physiquement l'État voisin quand l’intérêt d'un parti est en présence.
Affirmation des pouvoirs politiques en place
Chaque cité-État est gouvernée en sous-main par des factions économiques ou sociales incontournables. Les populations sont cependant soit menées, soit représentées par des gouvernements politiques centralisés dans la cité.
C'est à cette époque que les clans rassemblés à Thil décident d'adopter une langue et une monnaie commune.
La course aux matières premières
La vapeur implique une très grande consommation de bois et de métaux. Le site de Gav'Orn commence à s'épuiser.
Développement fulgurant Des Cories
De nombreux migrants, sous la tutelle des plus puissants chefs claniques, choisissent de s'expatrier au pied de La Grande Noirceur afin d'extraire le fer de nouveaux filons repérés. Les clans se lancent dans une concurrence folle. Dans la foulée, ils extraient de la houille. Bientôt un grand réseau minier marque le paysage montagnard, tandis que la cité s'enfonce dans les profondeurs dans de la montagne. En parallèle, une ruée vers les métaux plus précieux entraîne une migration de chercheurs individuels.
Création de la « 3A »
William Ael fut le fondateur d'une lignée de chercheurs qui élabora de nombreuses machines propulsées à l'aide de la vapeur et du vent. L'escadre d'ailes volantes « Ael Set » fut la première d'un régiment considérable et le fondement de « l'Armée de l'Air d'Ael », communément nommée la « 3A ». Sa mission est de sécuriser le ciel. Une nombreuse flotte de navires flottants voit le jour. La « 3A » protège la flotte marchande et les hauts fourneaux des Cories en échange de matières premières.
Sédentarisation des Hordes de Sûl sur l'oasis de Sûl-Nacre
Alors que les cités prennent forme et que les transports terrestres se développent, les hordes de Sûl se sédentarisent en s'installant sur les oasis. Les hommes du désert se regroupent sur l'oasis de Sûl-Nacre et y fabriquent du verre de belle facture.
Expansion Urbaine et migrations
Le développement industriel s'accompagne progressivement d'un exode rural massif. Les cités prennent de telles ampleurs qu'elles s'étalent sur des dizaines de kilomètres voir plus. Leur pouvoir devient primordial.
Exode rural
Le mouvement des populations, engagé lors des dévastations de chimérons, se poursuivit jusqu'à vider les campagnes. Seules subsistent quelques irréductibles villages qui deviennent les garages de machines outils ou des centres de réparation.
Croissance exponentielle de Gav'Orn
La cité de Gav'Orn, connue pour ses forges, attire les paysans désireux de profiter des avantages de la cité et du développement industriel. Les mines, les forges, les bateliers, docks, centres de pêches ou de marine marchande se répandent et embauchent les migrants. Ceux qui ne trouvent pas emploi errent dans la cité quand ils ne rejoignent pas un équipage de pirates ou de voleurs.
Naissance de la grande Belle Thil
Thil prend tant d'ampleur qu'elle s'étend sur des dizaines de kilomètres du Nord au Sud le long de la Jougle et du Tumult. Les plus grands clans sont devenus des dynasties qui se sont investies dans la recherche scientifique, la production agricole ou la production mécanique. La cité devient « La Grande Belle Thil ».
Le refuge de Talante
En 300 après Ael Set, quelques illuminés et passionnés cherchent refuge sous la mer en espérant une vie meilleure. La construction de la cité est l'objet d'un vaste projet de coopération de métiers et de sensibilités. Quand la cité est opérationnelle, qu'elle est capable de recycler l'eau en air, elle est alors non seulement parfaitement agencée mais aussi esthétiquement remarquable.
Ils sont quelques milliers à émigrer.
L'installation aérienne de Willaer
« L'Armée de l'Air d'Ael » construit un pont aérien capable de garer toutes les flottes composées de dirigeables et d'ailes légères ou lourdes, qu'elles soient civiles ou militaires. Toujours en mouvement, ce pont se déplace au-dessus du continent. Au fil du temps, d'autres ponts viennent s'accrocher autour d'un cœur qui lui même a la faculté de s'agrandir. C'est dans ce cœur que demeure le quartier général de la 3A et que sont découvertes les innovations aériennes. La section civile aérienne étend peu à peu ses services.
Migration des verriers vers Sûl-Nacre
En comparaison de La Grande Belle Thil, de Gav'Orn ou même Des Cories, Sûl-Nacre ne fait pas tout de suite figure de ville capitale. La cité gouverne les caravanes orientales et est maîtresse dans le désert. Sa réputation de productrice du meilleur cristal du continent incite les verriers de La Grande Belle Thil à s'installer directement sur le site de production.
Leur présence transforme la ville en cité de verre dont la renommée dépasse les frontières.
Consolidation des cités-États
Les cités ont été le point d'appui de larges mouvements de population et elles ont évolué, au fil du temps en cité-État. La cité est devenue le pôle d'un territoire qu'elle contrôle. Ce territoire, équivalant à un pays, vit sous la tutelle de la cité qui lui impose son régime politique tout en lui garantissant sa sécurité et son développement. Au fil du temps, les cités-État se sont appropriées un territoire bien défini que le poids des gouvernements en place maintient dans des frontières devenues fixes.
Sectarisation du continent mais frontières indécises
Chaque cité-État contrôle des secteurs économiques bien précis. Ce contrôle leur permet de se partager l'espace territorial. Mais les frontières sont indécises et les États s'entremêlent et pénètrent physiquement l'État voisin quand l’intérêt d'un parti est en présence.
Affirmation des pouvoirs politiques en place
Chaque cité-État est gouvernée en sous-main par des factions économiques ou sociales incontournables. Les populations sont cependant soit menées, soit représentées par des gouvernements politiques centralisés dans la cité.
Compte utilisé par l'équipe rôliste.