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Je ne sais pas si j'ai réussi à te suivre sur toute la longueur. Mais grosso modo, c'est plutôt pas mal, je vais donc faire des remarques
A trois dans les broussailles, les effluves de chitine masqué masquaient l'odeur du feu.
Bon, au delà, la phrase est maladroite. On voit bien que Smajish, Flinceton et Deter sont inséparables, mais là ça donne une idée de proximité... Je ne sais pas si c'est ce que tu as voulu dire.
J'adore la métaphore de l'oeil de cyclone en salade, dans le contexte elle donne une vraie saveur à l'action.
Cela dit, je pense que, dans la course poursuite avec les scitions et la lutte qui s'ensuit, les phrases sont trop longues et ne rendent pas bien le rythme.
Et... Je ne sais pas, je sais que c'est censé remuer et ça marche, mais tu étais obligé de décrire le rituel avec autant de détails ?
J'ai énormément d'admiration pour les écrivains qui respectent scrupuleusement leur langue, et autant de mépris pour les poètes qui font de même -
Observations assez pertinentes, j'y réfléchirai. Pour la lutte cependant: tu as envisagé de lire ça comme une métaphore, et l'irrégularité du style comme la fluidité douteuse feraient partie de la démarche symbolique justement?
Les détails: j'ai considéré que c'était probablement selon l'interprétation de chacun. Ca a l'avantage notamment (s'y attarder comme tu l'as lu) de "rendre le temps plus long". L'ignominie est alors un peu renforcée par l'"ennui": qui est je pense pour certains une peur viscérale autant que fondamentale.
Au delà de ça, mêler chitine et feu est un peu à lier dans mon esprit au régime diurne (tel que conceptualisé par Durand) et renforce la structure héroïque (du même) par rapport à l'approche plutôt mystique (tel que conceptualisée par le même) du trio jusque là. L'axe postural (du même) est ainsi "mis en scène". Mais c'est peut être un peu abstrait en effet. Je vais y réfléchir. Pour le participe passé, je me suis laissé éblouir par les ombres u feu ^^ désolé.
J'attends quelques retours pour voir si les autres ont ressenti les mêmes choses que toi, j'y verrai un peu plus clair.
D'abord le personnage central est assez fade et impersonnel. Dommage, il est pourtant très bien présenté et très bien assumé dans son ambivalence femme/saurien.
Quant au fond, je trouve qu'il était un peu risqué (trop peut-être). Ca valait le coup d'essayer ceci dit, mais pour ma part j'estime qu'il fait un peu trop écho aux événements de 1966.
La forme, c'est pas trop mal, même si je suis pas fan des haïkus ni de l'alphabet magyar.
14:36 - 6 juin 2016
Je ne sais pas si j'ai réussi à te suivre sur toute la longueur.
Mais grosso modo, c'est plutôt pas mal, je vais donc faire des remarques
Bon, au delà, la phrase est maladroite. On voit bien que Smajish, Flinceton et Deter sont inséparables, mais là ça donne une idée de proximité... Je ne sais pas si c'est ce que tu as voulu dire.
J'adore la métaphore de l'oeil de cyclone en salade, dans le contexte elle donne une vraie saveur à l'action.
Cela dit, je pense que, dans la course poursuite avec les scitions et la lutte qui s'ensuit, les phrases sont trop longues et ne rendent pas bien le rythme.
Et... Je ne sais pas, je sais que c'est censé remuer et ça marche, mais tu étais obligé de décrire le rituel avec autant de détails ?
15:24 - 6 juin 2016
Observations assez pertinentes, j'y réfléchirai. Pour la lutte cependant: tu as envisagé de lire ça comme une métaphore, et l'irrégularité du style comme la fluidité douteuse feraient partie de la démarche symbolique justement?
Les détails: j'ai considéré que c'était probablement selon l'interprétation de chacun. Ca a l'avantage notamment (s'y attarder comme tu l'as lu) de "rendre le temps plus long". L'ignominie est alors un peu renforcée par l'"ennui": qui est je pense pour certains une peur viscérale autant que fondamentale.
Au delà de ça, mêler chitine et feu est un peu à lier dans mon esprit au régime diurne (tel que conceptualisé par Durand) et renforce la structure héroïque (du même) par rapport à l'approche plutôt mystique (tel que conceptualisée par le même) du trio jusque là. L'axe postural (du même) est ainsi "mis en scène". Mais c'est peut être un peu abstrait en effet. Je vais y réfléchir. Pour le participe passé, je me suis laissé éblouir par les ombres u feu ^^ désolé.
J'attends quelques retours pour voir si les autres ont ressenti les mêmes choses que toi, j'y verrai un peu plus clair.
Merci toutefois de ces observations.
17:26 - 6 juin 2016
Perso, j'ai pas trop accroché.
D'abord le personnage central est assez fade et impersonnel. Dommage, il est pourtant très bien présenté et très bien assumé dans son ambivalence femme/saurien.
Quant au fond, je trouve qu'il était un peu risqué (trop peut-être). Ca valait le coup d'essayer ceci dit, mais pour ma part j'estime qu'il fait un peu trop écho aux événements de 1966.
La forme, c'est pas trop mal, même si je suis pas fan des haïkus ni de l'alphabet magyar.
"J'ai une âme solitaire"
21:17 - 7 juin 2016
Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Où est l'histoire ?
Remet-la sans attendre, lézard farceur, ou tu tâteras de mon terrible courroux.
23:11 - 7 juin 2016
"J'ai une âme solitaire"
00:25 - 8 juin 2016
Pourquoi un tel désarroi ?
Pourquoi un tel désespoir ?