Mémo 1 : FaQ et Règles spécifique à l'univers Magie
Autour de l'univers Magie
Univers magique
Les Récits rôlistes
Personnages
Système politique
Organisation des Religions
Rappel de quelques règles :
La magie est utilisée de manière courante, que ce soit pour les petites choses de la vie que les plus complexes. Du fait de cette « facilité », les inventions techniques restent faibles et les technologies inexistantes. Le décor et les moyens correspondent à l'époque médiévale mais la magie peut offrir un confort équivalent à celui de la technologie sur certains aspects et repousse les frontières du possible.
De base, l'ouverture d'un récit dans cet univers ne suppose pas l'accord d'un Maître de Jeu. Il vous est simplement demandé de respecter la Charte de publication et de contacter un responsable de l'univers si vous avez quelques doutes ou pour des projets susceptibles d'influencer de manière majeure le Contexte narratif.
Il est cependant nécessaire de créer une Fiche de Personnage lorsque vous débutez un nouveau rôle. Cette fiche peut être évolutive, ne vous inquiétez donc pas si elle n'est pas complète. Voyez cela comme une inscription au registre des naissances pour officialiser sa création.
Responsables de l'Univers :
Coordonnateur : Méli
Référent : Exodus(...)
15:27 - 31 oct. 2015
Les Récits rôlistes
Les récits rôlistes de tous types sont les bienvenus, libre au joueur de se lancer dans l’activité de son choix : les prédateurs apprécient de toute manière tout autant les explorateurs que les aventuriers.
Toutefois, les récits de type « guerre » et « intrigue » se doivent de prendre garde à s’insérer dans le CN (Contexte Narratif) de Ter Aelis sans pour autant l’altérer de manière trop importante. Raconter une escarmouche dans les zones frontalières ou l’enquête menant à la chute d’un des membres de la cour, c’est bien. Créer le siège de la capitale tout en prouvant que l’héritier au trône est un démon à forme humaine, ça c’est déjà beaucoup moins bien !
Cependant, un projet de grande ampleur influençant le CN peut être envisagé, mais il doit être très préparé et avoir l'accord d'un modérateur.
Les récits rôlistes sont-ils libres ou forcément guidés par un membre de l’équipe ?
Les récits sont libres la plupart du temps : l’improvisation au fil des messages a de bon qu’elle surprend toujours. Rien n’empêche non plus de faire suivre un fil conducteur au participant, fil donné généralement par l’initiateur du récits rôlistes ou même un Maitre de Jeu (MJ).
Les Coordonnateurs du pôle peuvent répondre à vos questions et vérifier le respect des CN, mais n'ont pas vocation à surveiller strictement le déroulement des récits ni le guider.
Comment se passe tout ce qui est guerre/combat au niveau réalisme ?
Les joueurs / rôlistes sont des héros. Enfin la plupart. Ils ont de fait une résistance naturelle à la mort : entendez par là que le destin les inonde de blessures et de falaises, mais qu’il y aura toujours le sort de soin ou la racine salvatrice pour permettre à leurs aventures de continuer. Partant de ce principe, il serait malavisé de placer un système de combat encadré : c’est aux joueurs de décrire leurs actions et réactions vis-à-vis de l’environnement ou des autres joueurs, mais en restant dans la norme du raisonnable. On ne tue pas le personnage d’un autre rôliste « parce qu’on en a envie », et encore moins sans son accord. Idem pour les guerres : l’épique, oui, mais stupide, non ! Un héroïsme raisonné, en somme.
Dans quelle limite puis-je faire changer le Contexte Narratif (CN) ?
Du moment que ça ne change pas directement les principaux CN (exemple : coup d’État pour prendre le contrôle d’une cité), c’est autorisé. Donc pas de création d’une nouvelle religion à laquelle tout le monde adhère en deux mois. Pas d’invention du moteur à explosion. Et non vous ne pourrez pas devenir le souverain incontesté de Ter Aelis. Ou alors vous devenez un PNJ et le personnage meurt assassiné, c’est ballot.
La création d'un PNJ est envisageable, mais doit faire l'objet d'un projet présenté au Coordonnateur responsable de l'univers. De telles créations doivent rester exceptionnelles.
À noter que les Responsables vont régulièrement prendre note des différentes aventures et de leurs impacts, avec possibilité d’intégration au CN s’ils jugent cela intéressant pour l’histoire et les opportunités de jeu.
Quelles sont les règles ?
En bref, les règles sont simples : du moment que vous êtes respectueux par rapport aux autres joueurs et au CN, faites comme bon vous semble. Amusez-vous mais faites toujours attention à ne pas empêcher les autres de s’amuser également.
15:28 - 31 oct. 2015
Personnages :
On dénombre environ une dizaine de races dites « majeures » dans lesquelles le nouvel arrivant peut piocher pour créer son personnage, et même parmi celles-ci on en trouve qui sont plus représentées que d’autres, pour d’évidentes raisons démographiques.
Chaque race dispose de sa propre description personnalisée que nous vous conseillons d’aller visiter. Ainsi les races majoritaires sont les humains, les Elantes, les Hystangs, les Noctarii, les Kors et les Aels. On trouve ensuite les races « peaux-vertes » Orcs et Gobelins, puis les Nains et les Elfes, sans sous-espèce existante sur le continent de Ter Aelis. Les races du style « vampire », « lupins », « mort-vivants », etc. ne sont pas des races à proprement parler puisque à la base issue d’une autre race et bien trop peu nombreux.
Le joueur désireux d’incarner une race de sa création doit d’abord demander l’accord du Coordonnateur responsable du pôle en prenant soin de s’inscrire dans la lignée Fantasy de l'univers.
Où sont situées les races au niveau géographique ?
Les races se sont réparties dans le continent de Ter Aelis au fil des siècles mais, hormis les humains, chacune dispose de « foyer » plus ou moins étendue. Voir les descriptions de chaque espèce pour plus de détails.
Quelles sont les ententes entre elles ?
Les conflits entre races sont depuis plusieurs années passées au second plan dans l’univers de Ter Aelis, les populations étant bien trop brassées et dispersées pour voir l’émergence de véritables factions raciales : les habitants préfèrent actuellement se chamailler sur les questions de politique ou de religion que sur le nombre de doigts à chaque main ou la teinte de la peau. Ce qui n’empêche pas les préjugés et les animosités personnelles de se faire entendre. Votre personnage n’aime pas les Nains (comme nous) ? Qu’il le dise ! En règle générale, disons simplement que les relations entre races vont de « cordiales » à « froidement polie ».
A noter l’exception qui confirme la règle : le Culte de l’Unique, qui associe à la fois le conflit religieux et racial.
Y a-t-il des races non jouables ?
Les races « non jouables » sont celles ne s’inscrivent pas dans l’univers Fantasy en général. Donc pas d’extraterrestres, de peuple technologiquement supérieur ou de goules radioactives par exemple .
Puis-je jouer un personnage de n’importe quel rang social ?
Oui, mais à condition que cela reste limité en terme d’influence. Jouer le Dauphin du royaume n’est pas autorisé. Jouer l’archiprêtre du Panthéon aélissien dictant sa loi aux plus puissants non plus. Jouer un riche banquier bourgeois rencontrant régulièrement les grands de ce monde est permis, reste à le rendre intéressant et surtout compatible avec les personnages des autres rôlistes .
Puis-je être mage, guerrier, marchand, noble qui ne fout rien, mendiant, chasseur de trésor, forgeron ?
Le Pôle Emploi n’existant pas en Ter Aelis, il est de la responsabilité de chacun de trouver de quoi occuper ses journées et accessoirement remplir son estomac et celui de ses proches. Tout emploi qui lui convient peut donc être exercé, moyennant une petite justification dans l’histoire personnelle : à vous de prouver par la suite ce que vous valez dans votre domaine.
Est-ce que je peux démarrer avec n’importe quel pouvoir ?
Les pouvoirs impliquant de grandes responsabilités (et plus certainement l’annihilation de la planète si usage) ne sont pas vu d’un très bon œil : sachez rester raisonnable et ne pas être trop gourmand. Un exemple ?
« Robert le Preux regarda autour de lui : la garde de la cité l’encerclait et leur regard mauvais ne présageait rien de bon dans l’immédiat, que ce soit pour sa liberté ou son intégrité physique. Il prit donc une grande inspiration, psalmodia un mot de pouvoir et claqua violemment des mains. L’âme de toutes les silhouettes en armures, ainsi que des mille cinq cent habitants du quartier furent aspirées en un clin d’œil. »
Clairement, on voit ici que Robert le Preux est un personnage « un peu pêté quand même ! » comme on dit dans le milieu. C’est dommage, personne ne voudra écrire avec lui. Surtout celui ou celle qui joue – ou plutôt jouait – Venus Amphily, jeune danseuse à la mode, intrigante et aventureuse, résidant justement dans le quartier mais sans aucun pouvoir pour se prémunir contre une absorption d’âme aussi taquine que subite.
Être capable de faire des trucs « badass », comme un vrai héros – ou méchant, d’ailleurs – c’est génial, on est tous d’accord. Donc les pouvoirs peuvent être impressionnants mais d’un point de vue individuel, et leurs effets ne doivent pas se mesurer en centaine d’individus. Et encore une fois, si vos pouvoirs vous permettent par exemple de prendre possession corps et âme de quelqu’un, demandez au gentil propriétaire du personnage s’il est d’accord avant d’en user comme d’une marionnette.
Est-ce que je peux être très riche ou est-ce que je dois être pauvre ?
« Les pauvres c’est fait pour être pauvre et les riches très riches ! » Mais encore ? Et bien la condition sociale de votre personnage ne regarde que vous mais doit avant tout servir à l’histoire que vous allez lui construire. La solution la plus simple reste à justifier un « niveau de vie » par une activité quelconque, une rente ou au contraire un revers de fortune. Gardez juste en tête qu’il vous faudra faire plus attention à l’intégration de votre personnage dans les différents récits rôlistes en fonction de vos compagnons.
Exemple : Archibald de la Haute Guerne, richissime propriétaire terrien récemment anobli, ne va pas aller recruter en personne Romuald Pissedroit, bonimenteur et voyou, pour une mission d’escorte. Et encore moins lui adresser spontanément la parole dans un troquet. Il a des gens qui font ça pour lui. Ils pourront en revanche développer des liens (bon ou non) au cours des récits rôlistes, une fois, l’aventure lancée.
Est-ce que je peux jouer un gamin ?
Oui, mais gare aux « dis-moi, petit, tu veux un bonbon ? ». Et aux couteaux. Et aux monstres. Et à un peu tout ce qui fait une aventure en général.
Est-ce que je peux jouer une mère de famille avec ses marmots en PNJ ?
Les garderies publiques n’existant pas plus que le Pôle Emploi en Ter Aelis, il faudra prendre gare à ne pas en égarer.
Comme indiqué précédemment, la création d'un PNJ doit rester exceptionnelle et doit faire l'objet d'une demande au Coordonnateur responsable de l'univers. Le PNJ doit être nécessaire à la réalisation d'un projet, cela signifie que s'il est possible de s'en passer, passez-vous-en!
Est-ce que je peux jouer un puissant chef d’une guilde de voleur qui contrôle toute une ville ?
Toute la ville, non. Un quartier entier, non plus. Mais l’homme de main d’un chef de guilde, avec une dose d’ambition personnelle, oui. Pour tout projet d'envergure susceptible d'influencer de manière importante les contextes narratifs, contactez préalablement un responsable de l'Univers.
Quelles sont les limites dans lesquelles je peux jouer ?
En bref, les limites sont les suivantes : un personnage crédible, à l’histoire construite et respectant le CN, intéressant aussi bien pour le propriétaire du personnage que pour les autres rôlistes. Pas d’immortel ou d’invincible, mais des personnages qui sont à même de survivre à leurs aventures (s’ils décident d’en vivre). Pas de ligne morale obligatoire, mais on évitera de tuer gratuitement le personnage d’un autre joueur, c’est un peu malpoli.
15:28 - 31 oct. 2015
Système politique :
Dans quel système politique mon personnage va vivre ? (cité-État, royaume, royaume parlementaire, démocratie, théocratie, taumathocratie, guerre civile, royaume de façade, dictature militaire…)
Ter Aelis se trouve découpé en deux grand blocs politiques : d’un côté la jeune mais puissante Principauté de Ter Aelis, regroupant les cités-États du sud et du centre du continent, et dirigé par le Haut Prince, élu parmi les dirigeants desdites cités. De l’autre on trouve le Grand-Duché d’Eschorie, composée de la cité d’Eschorie et de villes mineures gravitant dans sa zone d’influence, s’étendant sur l’extrême nord et une partie des montagnes de l’est.
Le premier est un système politique dans lequel les cités restent relativement indépendantes dans leur gestion territoriale mais sont sujettes aux ordres du Haut Prince pour ce qui est de la politique globale ; le second est plus autoritaire, car les villes et territoires qui se rallient à sa zone d’influence dépendent directement du Grand-Duc et de ses hommes de confiance pour tous les aspects de la politique.
Pour donner un exemple « réel », leur structure est respectivement similaire au système des Prince-électeurs du Saint Empire Romain Germanique d’une part et au Grand-Duché de Lituanie (ou de Kiev) de l’autre.
Qui a dit qu’on n’apprenait rien avec le rôlisme ?
Système égalitaire, matriarcal ou patriarcal ?
Les deux blocs de Ter Aelis sont rationnellement dirigés par les membres masculins des familles régnantes, et sont le reflet d’une société globalement patriarcal. Toutefois, on notera des différences entre les deux États : le Grand-Duché est connu pour permettre aux femmes d’avoir une place plus égale dans la société en général, aussi aucun métier ne leur est interdit dans les faits et les familles nobles préparent leurs filles à prendre la tête de leur clan en cas de nécessité absolue. Certaines hautes fonctions sont également occupées par des femmes de pouvoir mais il s’agit là d’exceptions.
La Principauté accorde de son côté une place bien moins égalitaire à la femme, celle-ci n’accédant que rarement aux métiers qui ne sont pas « de service ». Le fait est encore plus avéré lorsque l’on touche à la bourgeoisie et la noblesse : les filles de bonnes familles sont élevées de manière à être des épouses aimantes et de bon conseil, mais certainement pas des chefs de familles.
En résumé on est donc loin d’un système égalitaire et encore plus d’un système matriarcal. Cependant, le système est toujours amplifié ou atténué par les propres tendances des différentes races vivant en Ter Aelis (les Aels sont par exemple matriarcal), aussi est-il impossible d’établir une ligne claire et unique lorsqu’il est question de l’égalité des sexes.
15:28 - 31 oct. 2015
Organisation des Religions :
Une seule religion ou plusieurs ?
Vaste sujet que la religion en Ter Aelis ! Le continent est au carrefour de nombreuses cultures et influences étrangères et la religion en est l’une des premières affectées. On peut distinguer les groupes suivant :
Le Panthéon : historiquement, chaque race possède ou possédait sa propre liste de déités, avant qu’elles ne se fondent il y a plusieurs siècles en ce que l’on surnomme le « Panthéon de Ter », dans lequel chaque divinité originelle est révérée au même titre que les autres en tant qu’aspect d’un grand « tout » divin. En perte d’influence ces cent dernières années, le Panthéon a récemment retrouvé sa place auprès du pouvoir et a reconnu de nouvelles figures à vénérer. Son plus grand défi est actuellement de savoir comment réagir face aux nouvelles croyances qui se manifestent depuis une dizaine d’années, à accueillir ou condamner.
Le Culte de la Lune : à la base issue du Panthéon, cette église se concentre sur un seul de ses aspect :l la déesse lunaire, et néglige – voire affronte – les autres aspects. Clandestin la plupart du temps, il est difficile de différencier les officiants de ce culte exclusif de ceux vénérant la Lune dans le cadre du Panthéon. La rumeur voudrait que cette vénération serve de couverture à de nombreuses activités illégales de part le pays.
Le Culte de l’Unique : Religion née par-delà les mers, le Culte de l’Unique prêche l’existence d’un seul être divin entièrement dévoué à l’Humanité. Militaire et agressif envers toutes les autres dévotions – au mieux cataloguées comme « démons païens de sous races » et au pire comme « aberration tentatrice », à brûler dans les deux cas – il prône également la supériorité à long terme de la race humaine sur toute les autres. Issue d’un peuple humain lui-même réduit en esclavage il y a des siècles de cela, il abhorre l’esclavage sous toutes ses formes et le combat avec virulence. Il n’hésitera pas à affronter d’autres humains si ceux-ci se sont égarés. Sa position en Ter Aelis reste ambiguë : éloigné de son foyer historique il ne possède pas encore assez de moyens pour se lancer ouvertement en conflit avec toutes représentations d’autorité païenne, mais son influence est grandissante dans de nombreuses communautés humaines.
Les Déités Sanguines – « le Sang » : la vénération du Sang revient à reconnaitre l’existence et la puissance de nombreux aspects millénaires, ainsi que leur influence sur le monde. Représentés sous la forme de dragons aussi vénérables que rusés, ils furent la seule religion d’un empire que l’on pensa immortel, sur un continent par-delà les mers. Mais lorsque cet empire s’effondra sous sa propre masse, les survivants les plus puissants abordèrent les rives de Ter Aelis, amenant avec eux leur foi, qu’ils partagèrent uniquement avec ceux qu’ils jugèrent digne.
Le Culte du Loup : ancien culte quasi-animiste ayant connu son apogée par-delà les montagnes du nord il y a des siècles, cette religion a refait son apparition de manière insidieuse au cours de ces dernières années, développant plusieurs foyers dans le Duché et même quelques communautés plus au sud. Vénérant le Loup Blanc et rêvant de venger l’exile de leur déités, les suivant du Loup rejettent les habitants actuels de Ter Aelis en bloc, Duché et Principauté confondus.
Le Cercle du Zénith : sans être une véritable religion, le Cercle n’en est pas moins une secte prônant l’équilibre permanent, chacune de ses actions – souvent irrationnelles au premier abord – faisant partie d’un grand schéma visant à le conserver. Insondable, discret et disposant d’agents aussi nombreux que variés, il agit régulièrement de manière imprévisible et ne servira jamais que ses propres intérêts.
Sous quelle forme se présente la religion ? (cachée ? Avec cérémonie publique et/ou obligatoire ?)
Le choix de vénérer ou non un dieu ou un groupe de dieux est libre. Les différents groupes religieux se tolèrent avec plus ou moins d’hostilité et l’existence des athées n’est pas un assez gros problème pour être dérangeant. En revanche, celui qui bafoue sa foi et sa parole donnée est universellement détesté. Il est également conseillé d’être pratiquant régulier de sa foi si l’on souhaite conserver les bonnes grâces de ses pairs. En terme de visibilité, les seuls cultes véritablement clandestins sont celui de la Lune exclusive (puisque que sinon, elle est ouvertement vénérée avec le reste du panthéon) et celui du Loup (qui préfère rester discret pour le moment). Le Culte de l’Unique est le seul quant à lui à donner l’obligation d’assister aux cérémonies.